Rare sont les accueils si chaleureux que celui qui m’a été fait à l’Oasis.
Entre les rires et la richesse des discussions, le temps maussades s’est vite fait oublier par la chaleur du lieu et de ses habitant·es.
Après une semaine passée dans ce bouillon de vie, cette effervescence de belles idées, cet édifice en permanente reconstruction, je suis convaincue qu’habiter est un quotidien qui peut être politique, selon le sens que l’on lui donne.
Le Coq à l’Âme représente une forme d’habiter riches en relations avec le territoire, qui laisse espérer un vrai potentiel de transformation en faveur d’une transition écologique et sociale. Le contexte climatique et l’enlisement des structures institutionnelles rend nécessaire le fleurissement de telles initiatives écologiques citoyennes en coopération avec tous·tes les acteur·ices du territoire.
Merci encore aux oasien·nes pour ce que vous faites et qui vous êtes !
Juliane